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Actimize : 25% des établissements financiers n’est pas capable de traiter plus du quart des alertes de fraude et de blanchiment d’argent

juillet 2008 par Actimize

Actimize société du groupe NICE Systems, annonce les résultats de sa dernière enquête « Enterprise-Wide Tools to Fight AML and Fraud Peer Review ». Réalisée à partir des réponses enregistrées auprès de 161 responsables AML/Risk Management issus d’institutions financières établies à travers le monde, cette enquête révèle que 53% d’entre eux reconnaissent ne pas mener une investigation complète de l’ensemble des alertes qu’ils enregistrent. L’étude Actimize révèle également qu’un quart de ces responsables déclarent ne lancer aucune procédure d’enquête dans au moins 26% des cas d’alertes.

L’étude d’Actimize « Enterprise-Wide Tools to Fight AML and Fraud Peer Review » montre que 66% des institutions financières vont réaliser au cours des deux prochaines années des efforts soutenus et cohérents pour améliorer leurs procédures d’investigation. Alors que 77% des responsables interrogés dans le cadre de l’étude reconnaissent l’existence d’une collaboration entre les groupes d’enquête anti-fraude et anti-blanchiment d’argent, la majorité d’entre eux reconnait également l’existence d’un cloisement entre les groupes de travail qui ne partagent pas leurs ressources humaines ou se contentent d’équipes d’investigation intégrées. Les conclusions de l’étude Actimize montrent que l’expertise existante au sein des départements juridiques et réglementaires régionaux semble l’emporter sur les économies potentielles que les enquêteurs plus « généralistes » peuvent apporter. Les plates-formes technologiques, telle que la plate-forme Actimize Risk Case Manager, peuvent améliorer le déroulement des procédures et l’efficacité des enquêtes réalisées en limitant au maximum le nombre d’alertes ne faisant l’objet d’aucune investigation. Ces plates-formes maintiennent également la flexibilité nécessaire à la circulation de l’information auprès d’un large spectre d’analystes et d’enquêteurs.

Amir Orad, Directeur des opérations chez Actimize, déclare : « Notre expérience nous a prouvé que même les instances réglementaires reconnaissent que le non traitement des alertes peut avoir des effets négatifs en termes de ressources et de productivité. Dans le cadre de notre étude, il est probable que les systèmes AML et anti-fraude des responsables interrogés ne fonctionnent uniquement qu’en silo et génèrent un nombre important de fausses alertes. Il est également probable que les entreprises concernées ne possèdent pas les ressources adéquates ou les outils d’investigation suffisants pour faire face à toutes les alertes réellement pertinentes. »

La plupart des responsables interrogés éprouvent le besoin d’accéder lors de leurs procédures d’enquête à de multiples systèmes fonctionnant en silo. L’étude « Enterprise-Wide Tools to Fight AML and Fraud Peer Review » produite par Actimize, révèle également que plus de la moitié des responsables interrogés sont dépendants des ressources informatiques pour mettre en place et administrer de nouveaux rapports concernant les risques AML et les risque de fraude. Les conclusions de l’étude montrent que les entreprises informatiques dépendantes ne génèrent pas les requêtes nécessaires aussi rapidement qu’ils le souhaitent, ou que ces requêtes engendrent un coût supplémentaire.

Enfin, l’enquête révèle que 55% des institutions financières ne bénéficient pas des derniers outils intégrés d’investigation capables de contrôler automatiquement et de croiser les informations nécessaires à la détection de manipulations criminelles sophistiquées et inédites sur les bases de données et les applications utilisées. Ces nouvelles solutions réduisent pourtant le nombre de fausses alertes générées en proposant aux équipes en charge de la conformité et de la prévention des risques de fraude un nombre plus limité d’alertes, lesquelles sont plus pertinentes, et par conséquent réduisent leur charge opérationnelle.

Amir Orad ajoute : « Dans l’environnement économique actuel, les entreprises recherchent des moyens d’améliorer la cohérence de leurs principaux outils d’investigation, ce que les plates-formes de gestion de risques permettent. Les entreprises doivent bénéficier d’outils transversaux « cross-channel » pour améliorer l’efficacité des enquêteurs et dépasser les limites des systèmes hétérogènes existants. »


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